Calystene fait partie des précurseurs en ce qui concerne la prescription informatisée, depuis vingt ans. Rappelons que la création de CALYSTENE en 1992, par le Dr JM Babouchkine, résultait de son constat accablant des risques en Santé encourus par les soignants et in fine les patients par le fait d’une transcription manuscrites des informations relatives au processus du circuit des médicament et de la chaine des soins.
Avec la mise-à-disposition de sa nouvelle solution Futura Smart Design®, Calystene a voulu se placer à nouveau parmi les pionniers de la prescription informatisée, grâce à une ergonomie innovante, une technologie avancée et en se basant sur l’expertise acquise au fil des années.
Futura Smart Design® intègre un nouveau moteur de Prescription électronique visant plus de simplicité, plus d’efficacité et plus de sécurité. En accord avec le référentiel de certification des LAP (Logiciels d’Aide à la Prescription) Hospitaliers édité par la HAS, le moteur de prescription de Futura Smart Design® apporte un très haut niveau de sécurité pour le patient : contrôles de prescription (allergies, contre-indications physio-pathologiques, incompatibilités physico-chimiques, redondances et dépassements de posologie), mais également des outils visant à rendre « intelligente » la prescription : contrôles de sécabilité pour alerter sur les posologies « farfelues » telles que 253mg de substance active quand les présentations proposent 250mg ; propositions de substitution selon différents critères; schémas posologiques; prescriptions conditionnelles simple et complexes, etc.
Enfin, puisque le futur doit s’appuyer sur le vécu, Calystene a voulu se rapprocher de la pratique « historique » des médecins, i.e. de l’ordonnancier papier, où le prescripteur rédigeait ses lignes d’ordonnance, avec un minimum de contraintes : Futura Smart Design® intègre ainsi un moteur d’analyse syntaxique, permettant au prescripteur d’effectuer une prescription au clavier, ou par dictée vocale, et qui est remise en forme structurée par le logiciel, en accord avec la réglementation en vigueur. Le prescripteur peut ainsi se concentrer sur son métier de soignant, et non plus sur la façon d’arriver à prescrire ce qu’il souhaite en fonction du logiciel employé.